Son œuvre romanesque et poétique en a fait une icône des lettres cubaines et une incarnation de la résistance au régime de Castro. Zoé Valdès est l'invitée d'Augustin Trapenard.

Entre La Havane mon amour, (Arthaud) son dernier livre et son témoignage dans Paroles d’exil (L'Harmattan)elle nous parle de ce que signifie être privée de son pays.
Il y a 40 ans, Zoé Valdès écrivait le poème "La vieille Havane". Elle y parle de la pénurie qui touche son pays. Elle présente La Havane comme une femme battue et consentante. Il commence avec ce premier vers : "La Havane n'en peut plus...". Elle en lit un extrait pour Boomerang.
Extraits de l'émission
Programmation musicale
Bernard Lavilliers, L'exilé / Ibeyi, Away away