Son œuvre romanesque et poétique en a fait une icône des lettres cubaines et une incarnation de la résistance au régime de Fidel Castro. Zoé Valdès est l'invitée d'Augustin Trapenard.
Entre La Havane mon amour, son dernier livre, paru en 2016 aux éditions Arthaud, et son témoignage dans Paroles d’exil (L'Harmattan), elle nous parle de ce que signifie être privée de son pays.
Il y a quarante ans, Zoé Valdès écrivait le poème La Vieille Havane. Elle y parle de la pénurie qui touche son pays et présente cette cité comme une femme battue et consentante.
Le poème commence avec ce premier vers : "La Havane n'en peut plus…". Zoé Valdès en lit un extrait pour Boomerang.
Extraits de l'émission
Programmation musicale
- Bernard Lavilliers - L'Exilé
- Ibeyi - Away Away