Passe les semaines. Un jour La Fontaine se sent mieux. C'est le plus souvent que ses très chers amis viennent le réconforter.
Maucroix, Racine...
Le lendemain la faiblesse de nouveau le fait défaillir. Il tient ses promesse et n'use le reste de ses forces qu'à écrire des textes pieux.
L'une de ses dernières oeuvres, peut-être la dernière est une traduction.
Sur l'ordre, à nouveau, de l'abbé Pouget, il s'acharne à trouver des mots français pour le poème de terreur venu du plus profond du moyen âge : le dies irae
Je te laisse le soin de mon heure dernière. Ne m'abandonne pas quand j'irai chez les morts