J'ai le sentiment que la tradition du gui se perd, et cela m'attriste pour deux raisons.
Le gui, il est bon de le savoir, est une plante parasite qui nuit gravement aux arbres sur lesquels il se développe.
Et avec le déclin de la tradition d'accrocher du gui dans nos intérieurs ou sur nos portes d'entrée, ce sont chaque année des centaines de milliers de branches de gui qui ne sont ainsi plus éliminées des arbres.
Le conseil de lecture
Les fleurs amoureuses de Frédéric Hendoux et Stéphane Hette paru aux éditions Salamandre.