Valérie Trierweiler dans Le Parisien Aujourd’hui en France : c'est sa première longue interview à la presse écrite française depuis la sortie de son livre à succès, sur l'air effectivement de « je ne regrette rien ».

Autant le dire tout de suite, elle a encore une dent contre le Président : « ce livre je le réécrirais mot pour mot », y compris l'histoire des « sans-dents » qu'il continue de nier.
A ceux qui n'ont pas apprécié qu'elle se répande par écrit, elle répond qu'elle n'est pas tenue à un quelconque droit de réserve.
Une dent aussi contre Ségolène Royale et son retour au premier plan : alors là « je m'incline », dit-elle, « ils sont indissociables ». « Le pouvoir est leur seule raison de vivre leur obsession », « j'ai servi d'instrument pour la conquête du pouvoir, j'ai été naïve ».
A la question : « êtes-vous toujours en contact avec le Président ?», Valérie Trierweiler cite Roland Barthes :« toute désinvolture affirme que… seul le silence est efficace ».
Extrait de la chanson de Ginette Reno : « Ne m’parlez plus de lui »