Rentrée difficile pour Emmanuel Macron : va-t-il pouvoir compter, comme pour l'élection présidentielle, sur une "armée de militants" pour défendre sa politique ?
Les "Marcheurs" victorieux du mois de mai ne sont pas entrés en politique pour adopter les méthodes de "combat" traditionnelles des partis. Les adhérents de La République en marche (LREM) ne sont pas forcément prêts à attaquer.
Carine Bécard a découvert des militants en plein doute, un peu comme "à l'arrêt" et inquiets de savoir ce qu'ils vont pouvoir faire maintenant dans leur parti. Rencontres avec quelques uns d'entre eux, de Fontainebleau à Paris. Manifestement, pour certains, défendre un Président dont la popularité est en baisse, n'est pas une priorité.
