Ces dernières années, ces tribus, en Colombie ou à Bornéo, occupent le devant de la scène, résistent fièrement et ont gagné certaines victoires emblématiques.
« Inuits, Indiens, Pygmées, Aborigènes … » : Ils sont près de 370 millions à vivre en Amérique, en Amazonie, en Afrique ou en Australie.
Deux peuples, deux continents et un même voyage au cœur du réveil.
Reportage en Colombie

Les indiens Kankuamo de Colombie se réapproprient leur identité, aidés de leurs cousins les Kogis, après cette tragédie où des milliers d'indiens ont été assassinés par la guérilla ou les narcotrafiquants. Un ethnocide qui a pris fin il y a dix ans et qui, aujourd'hui est jugé sur la place publique.
Reportage à Bornéo

Sur l'île de Bornéo, les derniers chasseurs-cueilleurs de la planète, les Penans, ont été victimes d’un écocide. Ils ont vu leur monde disparaître à mesure que tombaient les arbres de la jungle. Aujourd’hui, ils refusent de disparaître à leur tour et lancent leur sarbacane contre la déforestation, leur culture contre les bulldozers …
Remerciements : Violetta Duarte, Siman Lakei de la fondation BMF (Bruno Manser Fonds), aux chasseurs-cueilleurs de la zone de Long Gita, à la communauté d'Atanquez, à Survival.
Pour aller plus loin :
Jean-Paul Barbier Mueller, historien a créé la fondation éponyme pour témoigner de ces peuples oubliés. Il a découvert en 1989 les Kalassans Batak en Indonésie.
Jean Paul Barbier Mueller et les peuples oubliés

« En Afrique, quand un vieux meurt, c'est une bibliothèque qui brûle. » Amadou Hampaté Bâ. Aujourd’hui il existe de touts petits peuples avec une forte identité individuelle, et qui restent ignorés. « C’est pourquoi Jean-Paul Barbier Mueller a créé en 2010 cette fondation qui nous invite à découvrir ces petits peuples pour témoigner des cultures oubliées. » Jean Paul Barbier-Mueller et sa femme ont créé le musée Barbier-Mueller en 1977. La Fondation culturelle Musée Barbier-Mueller dont nous parlons ici a été créée en 2010 par Jean Paul Barbier Mueller avec le soutien de Vacheron Constantin.
Carl Hoffman a 20 ans lorsqu’il commence à voyager. Plutôt que de sillonner le monde sans but, il cherche des histoires à raconter. Des histoires à la Joseph Kessel, à la Henry de Monfreid, qui lui permettent d’assouvir un besoin irrépressible de voir le monde. Il est un journaliste américain très connu des lecteurs de revues telles que le National Geographic ou Wired. Passionné de voyages, il est l’auteur de plusieurs essais sur les moyens de transport les plus dangereux à travers le monde.
Carl Hoffman et les chasseurs nomades
Pour y aller :
Avec l'agence de voyages Secret Planet
Générique :
Techno Frühstück - Raining for ages
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